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Animaux

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Les manchots ne transpirent pas comme les autres oiseaux, mais ils disposent de mécanismes uniques de thermorégulation qui leur permettent de s’adapter à différentes conditions climatiques.

Il existe 18 espèces connues de manchots, dont la plupart vivent dans les régions froides de l’Antarctique. Cependant, le manchot des Galápagos, qui vit près de l’équateur, peut survivre à des températures de plus de 29 degrés Celsius grâce à des adaptations spéciales.

Au lieu de transpirer, les manchots refroidissent leur corps en respirant : ils étendent leurs nageoires et respirent fortement. Cette méthode est similaire à celle utilisée par les chiens pour se rafraîchir.

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Une étude menée par l’Université d’Oxford et l’Université de Tubu Gakuin a révélé des différences individuelles significatives dans les compétences de cassage de noix chez les chimpanzés. L’analyse de 3 882 cas d’utilisation d’outils en Guinée entre 1992 et 2017 a montré que certains individus, comme Pelie, 14 ans, faisaient preuve d’une habileté exceptionnelle, tandis que d’autres, comme Djedje, 15 ans, éprouvaient des difficultés à accomplir cette tâche.

Les scientifiques ont constaté que le niveau de compétence des chimpanzés augmentait avec l’âge, mais qu’il n’y avait pas de différences entre les sexes. Des enregistrements vidéo ont montré des exemples d’apprentissage : la femelle adulte Fanle a transmis son savoir-faire à son fils Flanle, l’aidant à maîtriser la technique de cassage des noix.

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Auparavant, toutes les girafes étaient considérées comme appartenant à la même espèce, mais l’analyse de 515 crânes par balayage 3D a révélé des différences significatives dans la morphologie crânienne et les ossicones (excroissances osseuses).

Cette classification est d’une grande importance pour la conservation des girafes, qui sont environ 117 000 à l’état sauvage.

Les scientifiques soulignent la nécessité de reconnaître ces espèces au niveau international et de créer des stratégies distinctes pour leur conservation.

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Peter Kertesz, consultant dentaire au zoo de Londres, traite les dents d’espèces allant des éléphants aux dauphins. Selon lui, les traumatismes dentaires sont plus fréquents chez les animaux que les caries, qui sont principalement dues à un régime alimentaire inadapté.

Les animaux sauvages mangent des aliments grossiers qui nettoient mécaniquement leurs dents, empêchant ainsi la formation de la plaque dentaire. Par exemple, les carnivores déchirent la viande et les herbivores mâchent des végétaux coriaces, ce qui aide les dents à se nettoyer.

Dans les zoos, en revanche, les animaux bénéficient d’une alimentation de qualité et de soins médicaux qui leur permettent de vivre plus longtemps, mais cela entraîne parfois des problèmes dentaires si le régime alimentaire n’est pas le même que leur régime naturel.

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Une nouvelle étude publiée dans la revue Royal Society Open Science révèle que moins de 7 % des baleines à bosse mâles des eaux de Nouvelle-Calédonie deviennent pères. Une analyse de la paternité sur une période de 25 ans, de 1995 à 2019, a révélé que 93 % des mâles n’avaient pas de descendance génétique et qu’aucun d’entre eux n’avait engendré plus de deux baleineaux. Les raisons de ce faible taux de paternité et de la variation significative du succès entre les mâles ne sont pas encore entièrement comprises.

Les scientifiques attribuent ces résultats à la concurrence féroce que se livrent les mâles pour s’accoupler. Les baleines à bosse mâles se livrent à une compétition physique entre elles ou tentent d’attirer l’attention des femelles par leurs chants.

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